La désignation de Romuald Wadagni comme candidat de la mouvance présidentielle pour la présidentielle de 2026 suscite des réactions positives dans les rangs politiques, notamment au sein de la diaspora béninoise. Boris Djimadja, expert en transformation numérique et membre du Bloc Républicain, y voit un choix « stratégique », porteur de stabilité et de renouveau.

« Le profil de Romuald Wadagni, son expérience à la tête du ministère des Finances et sa connaissance fine des enjeux économiques font de lui un candidat crédible et rassurant pour l’avenir du Bénin », affirme Boris Djimadja, également membre du Haut Conseil des Béninois de l’extérieur.

Béninois de la diaspora, ce dernier insiste sur l’importance d’un leadership capable de garantir la continuité des réformes tout en impulsant une nouvelle dynamique. Selon lui, la candidature de l’ancien ministre symbolise une volonté claire de maintenir le cap tout en répondant aux aspirations de la jeunesse et des acteurs économiques. « Ce qui me convainc, c’est sa capacité à évoluer dans des environnements complexes et à proposer des solutions concrètes, adaptées aux réalités du pays », souligne-t-il.

Au-delà de la gestion économique, Boris Djimadja appelle à un rapprochement accru entre l’État et la diaspora béninoise, qu’il considère comme un levier encore sous-exploité dans le développement national.
« Un futur mandat de Romuald Wadagni devrait inclure des mesures fortes en faveur de la diaspora : représentation institutionnelle, organisation des états généraux, et politiques incitatives à l’investissement », propose-t-il.

Pour Boris Djimadja, il est temps de faire de la diaspora un véritable partenaire de la gouvernance, dans un esprit d’ouverture et d’inclusion.
« Ce serait le signe d’un leadership moderne, capable de fédérer les énergies autour d’un projet commun pour le Bénin », conclut-il.

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